Nous possédons des livres à vendre qui doivent avoir quelque valeur.
Si vous êtes intéressés ou si vous connaissez des personnes susceptibles de les rechercher, n'hésitez pas à le faire savoir.
Nous possédons des livres à vendre qui doivent avoir quelque valeur.
Si vous êtes intéressés ou si vous connaissez des personnes susceptibles de les rechercher, n'hésitez pas à le faire savoir.
Comme vous l'avez déjà lu, nous sommes vent debout contre la destruction des seuils construits par les anciens sur le Guiers. Ces seuils, barrages et autres "artifices" avaient pour but l'utilisation de la force hydraulique. Mais ils avaient aussi pour utilité la gestion des colères de la rivière en crue. Ces seuils n'ont jamais nui au passage des poissons ni des matériaux sédimentaires, contrairement à la nouvelle religion que voudrait imposer la commission européenne, véritable oubli du simple bon sens.
A l'heure où le second contrat de rivière projette d'araser les derniers seuils du "Guiers moyen", (seuils de la papéterie et du Maillet), de nombreux pays s'insurgent contre cette circulaire.
Nous devons connaître ce genre de projet qui nous concerne tous directement.
Nous devons donner notre avis.
Cours d'eau : Une pétition pour sauver les moulins
17 novembre 2010
Le ton monte dans nos campagnes, ou plus précisément le long de nos rivières. En effet, la directive-cadre eau (DCE) demande une restauration de la continuité écologique des cours d'eau en supprimant notamment une partie des milliers de seuils (c’est-à-dire des barrages ou moulins, etc.).
En conséquence, en janvier dernier, le ministère de l’Ecologie a publié une circulaire qui a fait peu à peu réagir les propriétaires de ces ouvrages. Si bien qu’aujourd’hui, près de 18 000 personnes ont signé une pétition pour s’opposer à cette circulaire du 25 janvier 2010.
La Fédération française des associations de sauvegarde des moulins (FFASM) juge « tendancieuse » l’interprétation qui a été faite par les services de l'État de la DCE. « Cette circulaire, par ailleurs financièrement insoutenable, met en péril le troisième patrimoine de France, les moulins à eau, estime la FFASM. Le bouleversement d'un équilibre hydraulique et écologique, en place depuis des siècles, aura des conséquences irréversibles. Les services de l'État n'ont prévu de les étudier qu'ultérieurement, en quelques semaines, sans véritable concertation, et sans tenir compte du potentiel d'énergie renouvelable que ce patrimoine recèle (équivalant à une tranche de centrale nucléaire). De plus, il n'a jamais été démontré scientifiquement que le retour à l'état sauvage des cours d'eau serait le remède pour une meilleure qualité de l'eau ».
En complément de sa pétition, la FFAM qui regroupe 82 associations et 5 000 adhérents, va organiser des « Journées nationales 2010 pour des rivières vivantes » les 25 et 26 novembre 2010 à Cholet.
Pour signer la pétition :
Etagères récupérées à la Corderie, remarquable travail de Gérard Vassal, maître- menuisier, rangement par une équipe de volontaires ce lundi 22 novembre,voilà le résultat :
Une seconde séance de rangement sera programmée avant le marché de Noël du 4 décembre.
La vente sera plus efficace....
BL
Jeudi 18 novembre, passage du DVD sur les industries locales à la Résidence Béatrice.
Notre association, avec le concours de Mr et Mme Gavet et leur matériel (comité philatélique EDF), avait répondu favorablement à la demande de l'établissement et de son animatrice.
A travers ce témoignage, un certain nombre de pensionnaires ont pu se remémorer cette époque.
16/11/2010 : l'entreprise Botta commence les fondations du nouveau bâtiment.
La canal en cours de démilition
Le mur conservé (le long du Guiers)
La grille au-dessus des turbines
Un aspect du chantier au 22 octobre :
Les travaux de démolition de l'usine de la Corderie avancent.
Nous savons désormais qu'une partie du canal sera détruite pour permettre l'installation d'une quinzaine de places de parking. Cette décision ne correspond pas à notre optique de préservation de l'ensemble hydraulique.
L'étang sera curé entièrement, comme nous l'avions demandé, ce qui préserve l'avenir de cet élément patrimonial cher aux habitants du Cotterg et des Echelles. Son alimentation s'effectuera par le ruisseau de l'Argenette en période pluviale. Sans doute aura-t-il une hauteur d'eau faible en période estivale mais il faut savoir qu'une source alimente l'étang en permanence, ce qui explique la présence de l'eau dans le secteur des roseaux même en période sèche.
L’odyssée de Djem (selon les sources vaticanes)
Djem accoste à Villefranche sur Mer, sur les terres du Duc de Savoie Charles 1er, le 15
octobre 1482.
Il est emmené à Nice où il reste 4 mois.
Il est ensuite transféré à Chambéry, capitale de la Savoie, puis aux Echelles où il arrive le
20 février 1483. Il reste dans cette commanderie hospitalière jusqu’au 27 juin 1483
A cette date, il est conduit à la commanderie de Poët Laval en Dauphiné où il demeure
deux mois.
Sa destination suivante est Rochechinard, château propriété du baron de Sassenage.
C’est là qu’il s’éprend de la très belle Philippine « Hélène » de Sassenage.
En février 1484, il part pour la Creuse, au château de Bourganeuf, centre hospitalier de la
Langue d’Auvergne et domaine de Pierre d’Aubusson, Grand Maître des Hospitaliers.
Mais le roi de France, Louis XI, demande son transfert à Monteil le Vicomte, propriété
d’Antoine d’Aubusson, héros du siège de Rhodes et frère du Grand Maître.
Après deux mois à Monteil, Djem part pour Morterolles (commanderie du diocèse de Limoges),
probablement en mai 1484.
En juillet 1484, il est transféré à Boislamy (Creuse), appartenant à Antoine de Blanchefort,
où il reste deux ans environ (l’un des accompagnateurs de Djem, de Rhodes vers la France, était
Guy de Blanchefort, frère du précédent).
Il retourne au château de Bourganeuf en juillet 1486, où une tour (la fameuse « Tour Zizim)
a été construite pour l’accueillir.
Après de longues et délicates tractations entre le roi de France et la Curie Romaine, et
malgré la pression de « La Sérénissime » (Venise) et le projet de mener la lutte contre la puissance
ottomane à partir de Buda (Hongrie), Djem doit rejoindre Rome, à la disposition de la papauté.
Mais les Hospitaliers, dans la perte de leur atout– maître, vont acheminer Djem lentement
vers cette destination. Partis de Bourganeuf le 10 novembre 1488, Djem et ses gardes embarquent
à Lyon le 5 décembre pour rejoindre le sud par le Rhône. Après Avignon, ils arrivent à
Toulon le 11 février 1489 pour embarquer sur la « Grande Nef du Trésor », flanquée de deux
grands navires de l’Ordre.
Après 10 jours d’attente de vents favorables, Djem et ses gardes hospitaliers quittent le
port le 21 février 1489, après sept ans de pérégrinations en Savoie et en France.
Les équipages débarquent à Civita Vecchia le 6 mars et entrent dans Rome le 13 de ce
mois. L’expression « Tous les chemins mènent à Rome » serait-elle issue de l’histoire de Djem?
Quelque jours plus tard, Pierre d’Aubusson est nommé cardinal en consistoire secret, non
pas pour avoir défendu Rhodes et la Chrétienté ,mais pour avoir livré Djem à la papauté.
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